« Le fado est une chanson de la vie. Pas uniquement un type de musique », estime la chanteuse, qui fait partie de ceux qui dépoussièrent cette musique traditionnelle portugaise. Venue au fado par le biais du monument Amalia Rodrigues, Cristina Branco a su s’emparer de la triste beauté de cette saudade portugaise avec sa voix chaude, délicate et limpide, suscitant l’émotion naturellement.

Elle sera accompagnée de Bernardo Couto à la guitare portugaise, de Bernardo Moreira à la contrebasse et de Luís Figuereido au piano.

Cristina Branco, c’est ce dimanche 28 juillet à 21h30 dans la cour de l’évêché d’Uzès. Billetterie ici.